Impact de la polarisation Th17 et Th2 sur les fibroblastes cutanés chez la souris

Je suis Parna DJALALI-MOGHADAM, interne en 3ème année de dermatologie à Paris. J’ai décidé de réaliser un Master 2 d’immunologie à Paris et effectuerai mon stage dans le laboratoire du Pr Molofsky, à San Francisco, dont l’équipe de recherche travaille sur les rôles des lymphocytes résidents dans divers tissus dont la peau.

Mon projet :

Dans la peau, au sein d’un tissu stromal composé principalement de fibroblastes, se trouvent les cellules effectrices d’un système immunitaire robuste jouant un rôle dans la fibrose cutanée, les phénomènes de cicatrisation, la tumorogenèse et les pathologies inflammatoires cutanées comme le psoriasis ou la dermatite atopique.. Jusque-là considérées comme cellules de soutien passives, les fibroblastes ont aujourd’hui un rôle immunomodulateur connu avec la mise en évidence d’interactions étroites entres fibroblastes et lymphocytes résidents dans le poumon.

Le but de ce travail est de caractériser les modalités et conséquences des différents stimuli lymphocytaires T (Th1, Th2, Th17) sur les fibroblastes cutanés et de comprendre leur traduction clinique.

Ces résultats approfondiront les connaissances sur les mécanismes physiopathologiques conduisant à l’émergence des pathologies inflammatoires, fibrosantes et tumorales cutanées. Ils pourraient ouvrir de nouvelles voies thérapeutiques ciblant les fibroblastes dans ces maladies cutanées, dont l’arsenal thérapeutique efficace est parfois limité.

Je suis Parna DJALALI-MOGHADAM, interne en 3ème année de dermatologie à Paris. J’ai décidé de réaliser un Master 2 d’immunologie à Paris et effectuerai mon stage dans le laboratoire du Pr Molofsky, à San Francisco, dont l’équipe de recherche travaille sur les rôles des lymphocytes résidents dans divers tissus dont la peau.

Mon projet :

Dans la peau, au sein d’un tissu stromal composé principalement de fibroblastes, se trouvent les cellules effectrices d’un système immunitaire robuste jouant un rôle dans la fibrose cutanée, les phénomènes de cicatrisation, la tumorogenèse et les pathologies inflammatoires cutanées comme le psoriasis ou la dermatite atopique.. Jusque-là considérées comme cellules de soutien passives, les fibroblastes ont aujourd’hui un rôle immunomodulateur connu avec la mise en évidence d’interactions étroites entres fibroblastes et lymphocytes résidents dans le poumon.

Objectif

Le but de ce travail est de caractériser les modalités et conséquences des différents stimuli lymphocytaires T (Th1, Th2, Th17) sur les fibroblastes cutanés et de comprendre leur traduction clinique.

Ces résultats approfondiront les connaissances sur les mécanismes physiopathologiques conduisant à l’émergence des pathologies inflammatoires, fibrosantes et tumorales cutanées. Ils pourraient ouvrir de nouvelles voies thérapeutiques ciblant les fibroblastes dans ces maladies cutanées, dont l’arsenal thérapeutique efficace est parfois limité.

Fiche du projet